Colocando as coisas no contexto: as novas orquestrações

Hoje em dia vê-se uma profusão de orquestrações de música de filme, parecidas com os planetas de Gustav Holst. Este fenômeno ocorreu após o compositor John Williams  ter escrito a música para o filme Star Wars. 

Dai a emergência de programas que permitem tais orquestrações. A evolução foi rápida. Os  novos  instrumentos estão  destronando a escrita tradicional e os manuscritos estam desaparecendo.  Talvez o mesmo ocorra com as partituras, pois as qualidades dos samples não param de evoluir. Acoplados a instrumentos MIDI (Musical Instrument Digital Interface) eles ganham em excelência.

A facilidade para orquestrar, com a ajuda dos programas digitais, fez emergir milhares de compositores que mesmo sem a tradição musical nem os conhecimentos sobre os instrumentos com os quais eles trabalham, produzem com a facilidade de um Ravel.

About history of music – A deductive and implicit approach

Before speaking about history of music, we need to find the best way to compare history with something real in our life. Maybe with a garden, because it has fundamental elements to produce fruits like earth, seeds, water, sun and a gardener to take care.

To get an overview of the actual situation, become simple to understand and explain hundreds of music’s roots, styles and currents in new music in this last 50 years. Finally, answer why contemporary music has lost its social visibility.

Always to compare with a garden, we make a bad mistake when we replace the actual production with a hypothetical or idealistic production. In other words, we need to consider the today's composers like reals protagonists of history of music. On the other hand, don’t take the archetype premeditated by intellectual elite and yours idealistic clean art based on the university’s composer because frequently they don’t right music almost Scientific’s papers. They want order what the real way forward to continue the history of music. It means that we need to harvest existing fruit.

If we compare earth with land, seeds with artists, water and sun with investments, gardener with cultural politics, we have a real panorama of what is necessary to establish a new vision of history of music.

“Make history…”? It is a delicate question, because, for some people, the true history cannot be made. Sure, we can make history, but we can’t say what kind of music will stay for a long time and, at the same time, we can’t say how long a new music will last. The only thing that we need to do is make attention to not became academic-selective, elitist and bourgeois to choice.

Nowadays, new tendencies to sponsoring is very bad because they want lucrativeness and, always in compare with a garden, they will choose seeds to grown up a fast then possible, and they will plant a great number of the same seeds to sell as much as possible.

Apparently, this seems normal and for the new generation this thinking always existed, but in reality this only happened after the liberalism imposes a fusion between culture, sport and entertainment, a bad crossover. Since then, we saw the domino effect. All these things culminate in the biggest cultural commerce. The consequences are a gradual extinction of independent artists and repetitions and remakes to fill the empty space due to low quality of this new cultural postulate.

Wait! We can’t consider art and culture like clothes or cars, one touch sensibility, tenderness, feeling and cultural identity, another means appearance and comfort; it exists to show our social position and wellness, not more.

Concerning styles and music’s trend, they are submitted to technological means to be in good standing with consumers. In this case, the music become a service of utilities like water or electricity. We arent no more proprietary but a consumer. Now we rent out of the 60,000 new songs offered daily on the Internet

All this purposes justifies a new approach to describe the process in “field” composition and their ramifications.

Keep it simple

Genèse de la musique classique occidentale du point de vue ethnique

Parler d’histoire de la musique serait, en principe, mettre en exergue des centaines d’ouvrages des grands auteurs et spécialistes qu’ont parfois dédiés toutes leurs vies sur le sujet. Ce petit article aborde cette thématique du point de vue ethnique du « corpus pensante » qui tantôt absorbe des cultures divergentes, tantôt les supplantés, les effacés ou les recalés dans les placards des musiques exotiques.

Parmi les raisons probables qui ont aidé à bâtir, au fil des siècles, un état de conscience et de fait indiscutables de cette musique que s'est exporté vers d’autres continents, on pourrait citer celles-ci 

1)         L’organologie : la maitrise technologique pour la facture des instruments soutenue par les sciences mécaniques, acoustique et physique.

2)         La forme et la notation (rythmes helléniques et la poésie romaine) et la structuration des formes subordonnées. Du point de vue du style, l’européanisation de la suite instrumentale par les danses populaires et de court (des 17e et 18e siècles) en vogue au 18e  (allemande, courante, sarabande, gigue) que se métamorphosera vers la sonate celle-ci basée sur la forme du discours (exposition développement réexposition) dans un lien évident du point de vue de la rhétorique (Expositio, Elaboratio , Peroratio) .

3)         Les idées et l’esthétique : de pair avec les arts picturaux, peintures et retables dans les églises, les systèmes, philosophies européens, poésie (lieds et chansons), littérature (librettos pour les opéras et thèmes épiques pour les musiques de programmes).

4)         Les mécènes, institutions et groupes multidisciplinaires de discussion sur les thèmes des arts. Camerata Bardi...

Voici une bonne base de discussion pour étudier ce phénomène :

1)      Les quatre premiers items débattus, reste pour un cinquième item, mettre à l’évidence l’exportation de cette musique : Eurocentrisme (avec l’appui des courts et de l’église) 

2)      L’absorption ou dilution d’autres systèmes de pensées musicaux par la bannière de la croix chrétienne, ses modèles chorals, les messes et processions (le bandonéon, instrument inventé pour imiter l’orgue lors des processions protestantes) 

3)      Le modèle de musique universelle en opposition à la diversité des théories musicales et ses symboles (ethnométhodologie).   

Les étapes de la vie d'un compositeur

A. L’innocence

C'est la phase dans laquelle il se consacre corps et âme à la musique et rien ne s'oppose à ses objectifs. Son amour pour l'art, en l'occurrence la musique, surmonte tous les obstacles. D'une certaine manière, il est encore invisible à la critique.

B. La persistance

Il se bat contre l'adversité et contre tous ceux qui créent des obstacles à son art.

C. La réalité

Confronté au monde du travail, il se rend compte qu'il n'est pas facile de subsister de son art. Que les difficultés économiques peuvent surgir. Un dilemme se pose alors, le choix entre persistance et abandon.  "La misère de l'artiste doit être considérée comme une forme d’art" » (Wilhelm Furtwängler)

D. Les analogies

Sa production, son style, sa popularité et sa visibilité sociale par rapport à d'autres compositeurs.

E. Le futur

Il doit continuer et ne pas perdre de vue la phase initiale, l'innocence, qui lui a autant donné du plaisir.

Renato De Aguiar

Leonin, Perotin et les résonances dans les voutes des églises gothiques

Parmi plusieurs théories sur les organum parallèles certains sont extravagantes, Voici une tentative d’expliquer la relation entre l’architecture et musique de cette époque. À savoir que, les résonances de quarte et quintes sont des résonances étroitement liées à l’architecture des églises gothiques (« grottes célestes »).

Pour tout musicien libre et jouissant d’un esprit créatif, la tentation de chanter en quintes ou quartes est palpitante puisque ces intervalles y perdurent sur la voute de l’église. Ils s’entremêlent sans créer des saturations, n'y laissent des traces dissonantes.

Des notes soutenues chantées dans ces architectures produisent sur le corps humain une synesthésie des sons et lumières, ce que renvoi au bout ultime de la fonction de cette musique qui est l’illumination de l’esprit, qu’appelle le public à la foi, tels les mantras de la culture religieuse des hindous, dont le but est la transcendance.

À la différence des hindous qui doivent eux-mêmes emmètrent les sons pour atteindre la paix intérieure et dans le cas des organum parallèles, ce sont les chanteurs qui amènent avec eux l’assemble des fidèles dans un transe-spirituel.

Reste à savoir si cet artifice était un pur hasard en relation à l’intuition musicale et la pratique qui peu à peu ont créé ce style en adéquation à l’architecture, ou si cet art est basé sur des connaissances cosmogoniques, hélas perdues, existant seulement dans la tradition orale, ou encore, toujours codées dans des anciens manuscrits et qui non toujours pas été misées à la « lumière du jour ».